mardi, juillet 10, 2007

ACH, MEIN GOTT! ZWEI FÜR EINS!

Tel que promis!

Salut Patrick

Allôôôôôô,


Tu m'as bien fait rire avec ton commentaire. C'était hilarant par moments. J'ai même ris à grands éclats!! C'est super..Inespéré de se faire répondre concrètement comme ça avec esprit, imagination et même, sous le ton de la confidence (le gars plate).

Ah ben ça me réjouit. J'espère sincèrement que c'est divertissant. C'est probablement une déformation professionnelle, mais j'haïs ça lire quelqu'un qui essaie sans succès (pour n'importe quelle raison) de faire de l'humour. Au moins une personne a ri! Si elle n'a pas menti, s'entend! :-D


À ce que je vois, le film se poursuit...

La scène où tu viens pour t'adresser à quelqu'un (enfin)et que le chum arrive: excellent!!(on est toujours dans la comédie..)

Il ne manquait qu'une caméra pour que j'y fasse une expression à la Benny Hill, pour ceux qui se souviennent. Aujourd'hui je pense avoir eu une autre scène du genre, quoique cette fois-là c'est le dialogue intérieur qui contribue.


Si je peux t'encourager un peu... dis-toi que ton scénariste va sûrement mettre un peu plus d'action et de piquant dans l'histoire car il doit effectivement se passer quelque chose pour garder l'intérêt des spectateurs... Le protagoniste doit vivre des ÉPREUVES sinon, c'est pas intéressant!! (Et celles-ci doivent aller en progressant (je ne veux pas te faire peur... on en reparlera une autre fois...)


Ehhh, pas certain pour les épreuves! La semaine a vraiment été rough et frustrante, et si l'avenir à court terme ne me réserve aucune autre épreuve, mais beaucoup d'autres péripéties sans gravité, ça me convient pour l'instant. Hmm... des épreuves, qu'est-ce qui constituerait une "épreuve" et qui ne risquerait pas de ruiner le voyage/me forcer à revenir/me mettre dans le trouble?


Pour rester dans le même esprit que mon premier commentaire, parlons des deux types de protagonistes: (...) Celui-ci peut, par exemple, avoir comme objectif de NE PAS CHANGER SA VIE. Alors, il ne bouge pas.

Heh. Ouain, quand j'en serai rendu là, ça sera le temps de regarder un canon de fusil par le mauvais bout et de vérifier si la balle arrive aussi vite qu'on le dit.

Quoiqu'un personnage comme ça, avec un bon scénario, peut donner des possibilités à un réalisateur (dans le genre trip psychologique à la Mulholland Drive).


Mais si je cherche un moyen de rendre ces premiers jours palpitants, je ne peux m'empêcher de te parler également du fait qu'un protagoniste peut être positif (bon gars, sympathique, empathique, du type Tom Hanks dans you've got a mail...)mais également, négatif. En effet, ce ne sont pas nécessairement les meilleures personnes qui sont les héros des meilleures histoires.

Absolument, personne (personne avec l'esprit critique en tout cas, ho ho -- encore là, ça dépend si on s'intéresse au cinéma pour décrocher/quitter sa réalité plate ou pour faire avancer la discipline/comme exercice intellectuel, mais ça c'est un autre débat) ne veut d'un goody-two-shoes. On ne peut pas s'y identifier, et ça peut même aller jusqu'à vouloir sa défaite, tellement il est fendant. (Je ne parle pas de Hanks ici, c'est juste un autre exemple.)

Prends Tintin, par exemple. Qui trouvait-on plus sympathique, Tintin ou le capitaine Haddock? La question ne se pose même pas. Et puis dans un des livres (me souviens plus lequel), le capitaine Haddock traite quelqu'un d'hydrocarbure. Hydrocarbure! Come on, c'est pas un journaliste androgyne et d'orientation sexuelle indéterminée (venez pas me dire que vous vous êtes jamais posés la question) qui peut accoter ça!

Ah, rien de mieux qu'une bonne tangente.


Par exemple, un protagoniste peut être un meurtrier et être le héros d'une histoire formidable: on n'a qu'à penser au Parrain ou encore à Amadeus dans lequel Salieri met tout en oeuvre pour éliminer son rival, le divin Mozart. C'est une possibilité...

Ouaip. Hannibal Lecter, entre autres. Tout est dans le point de vue, et ça peut fonctionner des deux côtés, dans la mesure où la "manipulation" est suffisamment subtile.


Mais bon, je ne pense pas qu'il te faille (est-ce le bon temps de verbe et la bonne orthographe??)absolument tuer pour avoir un séjour captivant;) Et c'est ma tante Yvette m'en voudrait un peu...
Mais il est toujours possible d'imaginer et de rêver un peu...alors...
Quelle serait ta première victime??? ;)

Je pense que "faille" est bon ici :-D
Ma première victime... Personne en particulier, pour être honnête. C'était plus une combinaison de petites choses. Mais disons que quelques personnes mériteraient une claque : la proprio de l'appart, le chef du syndicat de Deutsche Telekom...

Voilà! Vous avez maintenant suffisamment de lecture pour patienter jusqu'à demain, j'espère?

Bye tout le monde!

2 commentaires:

Anonyme a dit...

L'Allemagne a réussi dans 1 semaine ce que j'ai essayé de t'apprendre toute ta vie:"La Patience".

J'ai fait une visite avec Diane à ton appartemant. Ç'a été bien agréable.

Je transfert mes inquiétudes et mes angoisses sur le dos de Stéphanie. Ça me soulage et, elle, ça passe dans le même lot que son ennuie.

Aujourd'hui, c'est très chaud et très humide. Mais à la clim, c'est le bonheur!

Y

Unknown a dit...

Salut!

Nah, je pense pas avoir appris la patience. Je "patiente" parce que j'ai pas le choix. Ça me brûle d'attendre que la gang de branleux se décident, dans un accès de bonté, à appuyer sur un bouton. Gahhh, ouach. En tout cas...

Content que tu t'en sortes pas pire, oublie pas que t'as tout plein de monde autour de toi pour te remonter le moral au besoin :)

Et pour ce qui est de la climatisation, j'en ai pas besoin du tout jusqu'à maintenant... Quoiqu'ils prévoient 30 en fin de semaine. ENFIN. Je vais le croire quand je le verrai.

Bye!